Où a été ton premier gros spectacle?

Je n'ai jamais été porté vers les drogues. Je n’en ai pas vraiment eu besoin pour être sur le party. Je suis un gars qui aime boire et faire la fête. Oui j'étais un tripeux, mais je ne me droguais pas.

As-tu une fixation sur le sexe?

Euh, prrrrrrr! (son bizarre avec sa bouche), mon premier gros spectacle a été au Dagobert de Québec, aux lundis Juste pour rire.. Ce n'était pas le « méga show » mais pour moi ça l'était. C'était mon premier spectacle en français et il y avait quand même près de 2000 personnes dans le bar. C'est là que j'ai vraiment eu la piqûre et décidé de devenir humoriste professionnel.

Étais-tu un jeune « tripeux »?

Non, je ne dirais pas ça (rire); mes textes ne sont pas axés sur ce sujet, même si les gens ont cette image de moi. Au contraire, je touche à plusieurs sujets, que je traite à ma façon. Je vais souvent voir d'autres spectacles d'humoristes qui parlent plus de sexe que moi, mais ils ont des textes beaucoup moins hard, alors les gens ne s'en aperçoivent pas.

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Entrevue avec Mike Ward

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